Bousculade fi dmaghi التطبيع في إدمغي

Publié le par Lafer Boualem

Changer de chaumière. ils vendent le toit qui m'a abrité depuis une quinzaine d'années de la froidure de la bretagne. quinze ans à la recherche du Graal en fôret de Broceliande, havre pour exil non convenu de par des silences cammaradiens souriants.
Etre dans une prospective primptanierre, sans domicile, alors que la gendarmerie du bourg a déjà prit les empreintes dans une dimension de STIC à la gloire d'une hongroiserie proche d'une viennoiserie "ormai" inscrite dans les déambulations du Danube avant qu'il n'atteigne le petit village de Nagui maroch.
C'était une belle chaumière, et l'Italienne s'interrogeait sur les fêtes de l'Unita en banlieue milanaise. Les caresses étaient libres de toute idendité et les peaux n'avaient pas de couleur. l'Immigré n'existait pas.
Il est vrai que la situation d'immigré est dure. Quand je pense à tous ces gens arrivés pieds nu en ces terres africaines, alors que les voges regorgeait de gibier. La nostalgie a ronger tritement des souvenirs de "gaulesoiseries" alors qu'ils étaient pour la plupart Germain, comme l'indique le nom de la ferme Ste Louise où j'ai grandit: HAOUCH DJERMAINE.
Le gourbi dont les murs étaient fait d'un mélange de bouse de vache et de glaise ne rappelait en rien la hutte en bois dont nos ancêtres gaulois usitaient, ils devaient être plus riches. c'était une question de transfert de... civilisation.
me voilà m'exprimer en une langue qui m'est étrangère de par le regard suspiscieux de l'ami.
Dans les rues de Parme, un ami grec. Ivre de liberté à l'époque de la dictature militaire, il chantait dans le brouillard de la plaine parmesane: stranger in the night, vafanculo stranger in the night.
L'heureusité était palpable.
Et Paola n'aime plus la chanson de Marinnella.
Shto delaï? comme le disait si bien Illich Oulianov.
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